La
seule certitude qu’on puisse avoir à la naissance, c’est d’être destiné à
mourir.
Quelle triste
destination…
Pourtant, on serait
tenté d’accélérer le voyage si la destination n’était pas si funeste…
Ou plutôt devrais-je
dire funèbre.
Car la mort n’est pas forcément funeste.
Car la mort n’est pas forcément funeste.
Elle nous permet de
prendre notre temps, ou du moins nous incite à le faire.
Prendre le temps de vivre pleinement.
Apprendre constamment pour repousser la date d’arrivée.
Apprendre constamment pour repousser la date d’arrivée.
Au début, la vie est
nue.
S’y greffent des blessures et des bonheurs qui lui donnent ses couleurs.
S’y greffent des blessures et des bonheurs qui lui donnent ses couleurs.
Cette vie qui est
fragile et forte à la fois, dont il faut user sinon c’est elle qui vous usera.
Elle vous dessèchera
l’âme et fera de vous un monstre, car sans admiration, il n’y a pas d’amour.
Et sans amour, il n’y a pas d’humanité.
Et sans amour, il n’y a pas d’humanité.
Il faut cette étincelle,
cette folie qui pousse à surmonter les échecs jusqu’à réussir.
Sans la passion, il ne
reste que des morts-vivants se nourrissant de velléités.
La passion est source
d’énergie, c’est un carburant formidable.
Elle fait s’ouvrir les
bourgeons qui offrent leur beauté inspirante à qui veut bien les voir.
La vie est un tourbillon
de souffrances, de labeurs, de douceurs et de joies.
Il n’y a pas de joie
aussi intense que la souffrance, il n’y a pas de vie sans mort.
Tout est lié.
Il faut apprendre à
cultiver et à célébrer les bons moments.
Ils sont indissociables
des mauvais moments.
Il ne reste que notre
aptitude à choisir nos souvenirs et à aller de l’avant… Mais pas trop vite.
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